Contribuer à la communauté de Rennes : bénévolat du jardinage
Comme étudiante à l’étranger, il est parfois difficile de rencontrer des Français. Mais je trouve que, quand j’ai l’opportunité de faire la connaissance des Français, je me sens beaucoup plus intégrée dans la culture française, et je saisis l’opportunité de pratiquer davantage la langue. Donc, quand j’ai entendu parler de l’opportunité de faire du bénévolat dans la ville—le jardinage, que j’aime bien—j’avais hâte d’y aller.
C’était vraiment une idée géniale. Avec une amie de CIEE, j'ai passé deux heures dans une association locale, un bel endroit naturel dans la ville. J’ai beaucoup discuté avec des Français, en apprenant des nouvelles choses et en faisant du bon pour la communauté. Quand nous y sommes arrivées, nous étions accueillies par l’équipe, qui nous a montré le jardin et ce que nous ferions. Faire le jardinage, c’était un bon sursis des devoirs ainsi qu’une opportunité de faire de l’exercice. (J’avais les courbatures aux muscles toute la journée après !)
Sans doute, le meilleur aspect du bénévolat était que nous avons fait la connaissance des Français très gentils. C’était un moment d’échange culturel, où nous pouvions leur parler totalement en français et leur poser et répondre aux questions. Moi, j’ai fait une amie de mon âge qui avait un goût de la musique similaire à moi, et elle m’a montré des chansons françaises que j’aimais très bien. Nous avons aussi parlé des films français et américains avec un jeune homme français qui nous a donné des bons films à regarder et ce faisant nous a appris beaucoup du vocabulaire. J’ai appris des mots dont je n’ai jamais pensé d’avoir besoin, comme « hérisson » (hedgehog) ou « nain de jardin » (garden gnome).
Faire du bénévolat, c’était pour moi et mon amie un très bon moyen de nous intégrer plus dans la ville et avec les Français. Et, bien sûr, de passer du temps amusant ensemble. Même si mes chaussures étaient après pleines de terre, cela valait absolument la peine, et j’ai hâte d’y retourner bientôt. Surtout, j’ai trouvé la même vérité que je note partout à Rennes : tout le monde est content de vous accueillir et d’échanger avec vous si vous êtes aussi amiable et avez l’esprit ouvert. Il faut de ne pas avoir peur : reconcentrer des Français, c’est le meilleur moyen de connaître mieux la France !
Ella Bernstein
Oberlin College
CIEE-Rennes Liberal Arts Spring 2023
Related Posts
Sick in France : an opportunity to reflect on the healthcare system
Getting sick while studying abroad is never part of the plan, but it became an unexpected learning experience for me in France. While it was stressful in the moment, it... keep reading
Hosting Loved Ones in France
When my mom came during our winter break, we traveled together to Paris, Annecy, and Nice. It was a week full of slow mornings, long afternoons at coffee shops, and... keep reading
Première rencontre avec une personne inconnue à Rennes / My first interaction with a stranger in Rennes
«T’as pas froid ?» dit une voix venant de ma droite. «…» le temps de comprendre que quelqu’un me parle. «Me–euh moi ? Non, il fait pas trop mauvais pour... keep reading